Les bras de la mer lancée par la lumière de dieu D’une voix rieuse le bruit des vagues allongent ses mains Au cri du soleil frémisse les nuages aux corps sans eau
Je chevauche le suicide à l’écume des joues de l’océan La trompette des vagues jouent à l’enveloppe des lits clos La tempête des dieux tissent la paix des pauvres
Les cieux toisent la mer de la justice Silence des eaux bercent les voilent èpaisses Le temps sans rêves dans l’âme sans fin
Bonsoir !Promis, ce week-end je vais visiter ENTIÈREMENT ce très beau site aux senteurs iodées.Le premier dessin est superbe. J'y vois une héroïne, mon héroïne.Bien amicalement. Bon w-e.Erik